Intro dite par Jessica
Entre David et Caroline, c'est le grand amour. Pourtant, Caroline a du renoncer à son désir d'avoir un enfant avec lui. C'est un sacrifice et une preuve d'amour incroyables. En fait, David ne supporte pas l'idée d'être père. Il a été renié et abandonné par le sien et il ne veut pas entendre parler de paternité. Je le comprends mais c'est vraiment dommage pour eux. Surtout pour Caroline qui désirait tant une nouvelle grossesse. J'espère que leur couple tiendra malgré ce renoncement. Quand je vois Alain et Valentine, je me dis que finalement un couple peut survivre à beaucoup de choses. Valentine s'occupe de la plage et Alain dirige un hôtel luxueux. Ils ont l'air de s'être calmés après tous leurs coups bas les voilà à nouveau réunis pour le meilleur et pour le pire mais jusqu'à quand ?
David s’occupe à merveille de Tom. Caro lui dit que c’est un vrai père modèle. Il dit qu’il vit avec et qu’il s’en occupe mais qu’en aucun cas, c’est son père. Caro a des nausées et des petits malaises à répétition. Baptiste lui dit qu’elle est peut-être enceinte. Elle dit que c’est impossible car elle prend la pilule. Il veut faire une prise de sang pour confirmer le diagnostic. Elle désire cet enfant mais elle sait que David n’en veut pas. Elle décide d’avorter et de ne pas en parler à David. Maryline appelle chez David pour communiquer les résultats d’analyse de Caro. Il est catastrophé par la nouvelle. Lorsqu’elle rentre, Caro lui assure que c’est un accident. Il dit qu’elle a voulu lui cacher. Elle dit qu’elle va avorter et qu’ils vont recommencer comme avant. Caro demande un rendez-vous au plus vite pour une IVG. David dit qu’elle pense qu’il est pire que son père car il abandonne cet enfant bien avant sa naissance. Caro s’emporte et dit qu’il ne pense qu’à lui. Elle s’apprête à faire le pire des sacrifices. Elle ressent une vive douleur et tombe dans les escaliers. David s’inquiète pour sa santé et celle du bébé. Caro n’a rien. David se sent coupable de cette chute. Il s’inquiète pour le bébé. Jessica raccompagne Caro chez elle. Elle annonce à David qu’elle va garder son enfant. Quand elle a su que son bébé allait bien, elle était heureuse. Et elle sait que David aussi était heureux. Elle lui dit qu’il a besoin d’un enfant pour se réconcilier avec son enfance et avec lui-même. David décide de partir. Il dit qu’il ne peut pas faire autrement. Après avoir réfléchi, il revient auprès de Caro. Il ne lui promet rien mais il va essayer.
Alain dirige d’une main de maitre son hôtel, qui remporte un franc succès. Il se rend à un cocktail organisé sur la Plage afin de faire la pub pour son hôtel. Alain est jaloux d’un client, qui se montre assez proche de Valentine. Au cours d’une dispute, il va dormir à l’hôtel. Une femme de chambre, Magali, vient le réveiller. Il a su par son collègue qu’elle était amoureuse de lui. Valentine interdit à Alain de venir à une réception sur la Plage. Il propose à Magali de sortir. Il se rend à la réception et fait son show. Valentine est en colère. Elle se demande qui est cette femme au physique ingrat qui l’accompagne. Le client de Valentine s’énerve en voyant le carnage qu’Alain provoque. A la fin de la soirée, Alain donne de l’argent à Magali pour être venue avec lui. Elle est déçue et dit qu’elle pensait qu’elle lui plaisait et qu’il voulait sortir avec elle. Elle lui dit qu’elle a passé une bonne soirée. Il dit que c’est réciproque. Il dit également qu’elle lui plait beaucoup. Ils passent la nuit ensemble à l’hôtel. Le lendemain matin, il a honte de ce qu’il a fait. Il rentre chez lui et découvre que la soirée de Valentine s’est vite terminée. Ils décident de faire la paix. Alain convoque Magali dans son bureau. Il lui dit qu’avec la nuit qu’ils ont passé, il ne peut pas la garder. Il veut lui faire signer une lettre de démission et promet de lui trouver une meilleure place ailleurs. Elle est profondément déçue. Elle dit qu’elle aurait voulu avoir le temps de s’amuser avec lui. Elle signe sa démission et dit qu’elle ne regrette rien. Alain décide de la réembaucher car elle lui manque.
