Intro dite par Jessica
Dans la chaleur de l’été tropézienne, Lisa nous fait l’effet d’une tornade. Depuis son histoire d’amour avec Fred, un journaliste photographe, elle s’est pris de passion pour les reportages d’investigation, les rubriques chiens écrasés ça n’a jamais été son truc, mais là ça l’est plus du tout. Elle a aussi envie d’aventures, c’est d’ailleurs pour ça qu’elle a choisie d’être libre et de ne pas attendre le retour hypothétique de son bel aventurier pourtant ça vaut parfois la peine d’attendre la preuve, Laure a retrouvé Benjamin, l’homme de sa vie, c’est lui qui a sauvé Clara, quand elle a fait une fugue en pleine mer, et du coup la DDASS lui a reconnu naturellement le droit d’être son papa. Clara et Benjamin s’entendent si bien qu’ils sont partis en vacances tous les deux. Ca tombe bien pour Laure, qui est débordé en ce moment, être à la tête de la clinique c’est pas toujours facile.
Lisa est persuadée qu’il y a un réseau de prostitution via une agence de mannequins. Elle pense prouver qu’elle est faite pour ce métier en révélant ce réseau au grand jour. Fred fait son retour à Saint Tropez à ce moment-là. Lisa retombe dans ses bras. Son patron lui demande de faire un reportage sur une réception chez un certain monsieur Vidal. C’est cet homme qui est à la tête de l’agence. Elle s’y rend bien et obtient un rendez-vous avec lui. Elle fait affaire avec lui. Fred déconseille à Lisa de s’occuper de cette affaire mais elle n’en fait qu’à sa tête. Jessica fait une gaffe et Fred apprend que Lisa fait quand même son reportage. Dans la villa de Vidal, Lisa fouille dans son bureau mais se fait surprendre en train de photographier des preuves. Il la séquestre. Fred arrive à trouver où est Lisa et parvient à la libérer. Ils appellent la police. Ils signent un article à 2. Ils décident de partir en reportage en Europe de l’est.
Franck, le collègue de Laure, prend en charge une patiente qui doit être opérée d’un fibrome. Suite à l’opération, elle tombe dans le coma. Le mari de madame Chirpaz veut porter plainte. Madame Chirpaz fait une embolie pulmonaire car Franck a oublié de lui donner une ordonnance pour des anticoagulants. La patiente doit être opérée, la Clinique n’a pas le matériel pour ce type d’opération. Elle n’est pas en état d’être transférée sur Marseille, Franck propose donc une injection directe d’anticoagulant. En tant que chef d’établissement, Laure se doit de réagir. Elle fait comprendre à Franck qu’il doit démissionner. Au même moment, madame Chirpaz se réveille. Elle est sortie d’affaire mais monsieur Chirpaz n’est pas encore décidé à retirer sa plainte. Sa femme la convainc de le faire. Laure arrive à retenir Franck in extremis.